L’impact de l’Homme sur l’environnement se traduit par un aménagement, y compris des espaces naturels, dans une perspective de production. La productivité peut ainsi être maximisée (exemple des forêts monospécifiques d’épicéas, de chênes…), mais au détriment de la biodiversité. Cette dernière est pourtant le socle d’écosystèmes résilients, aptes à affronter les crises et à s’en relever plus rapidement. Et si cette approche était valable aussi pour d’autres systèmes d’organisation, notamment humains ? Suivi d’une rétrospective sur 40 ans d’engagement du Centre de la Nature Montagnarde, et de l’Assemblée Générale de l’association.